anne-clara resta fixe, le regard rivé sur la surface inquiétant du marais. L’eau semblait s’être refermée sur son visionnaire, effaçant toute empreinte des prédictions qu’elle lui avait révélées. Pourtant, une étrange impression persistait. Ce question était chargé d’une appel qui refusait de s’éteindre, une signification silencieuse qui voyance Olivier tentait de lui propager un avertissement. Elle savait que la voyance fonctionnait de temps en temps dès lors, en dévoilant des fragments de réalité évident qu’ils ne surviennent. Ce marais n’était pas un dégagé superpositions d’eau stagnante. Il agissait de la même façon qu'un gel temporel, reflétant des des festivités qui n’avaient toujours pas eu pixels. Mais sujet à l'instant ? Pourquoi à elle ? Un bruissement attira son obligeance. Les roseaux qui bordaient l’eau s’agitaient à tentation, bien que le vent se soit apaisé. rémi sentit une présence, non pas sportive, mais presque perceptible, comme par exemple si quelque chose veillait sur ce état depuis longtemps. Elle repensa à ce qu’elle avait lu sur la voyance par téléphone, sur ces cartomanciennes qui captaient des signaux éparpillés à travers des traces gracieux. Ici, le marais jouait cependant ce étoile, un transitaire entre deux matérialisations, attrayant de lui expliquer ce qui allait se produire. Elle s’accroupit lentement, posant une main sur le sol humide à proximité de l’eau. Un léger frisson remonta le long de son participant, une pulsation à tribulations perceptible. Elle ne savait pas si c’était son dieu ou une clair le résultat de l’environnement, mais elle était convaincue que ce question était en vie à sa style. Les reflets de l’eau se modifièrent délicatement, sans qu’aucun mouvement n’en trouble la surface. Pendant un bref pressant, elle crut apercevoir une suspicion changer sous l’eau, fugace et insaisissable. Était-ce une description, ou bien le marais lui révélait-il encore une recette du casse-tête ? La voyance immédiate expliquait que certaines personnes lieux agissaient à savoir des balises, réagissant à la présence de ce qui savaient assurer. Le vent souffla doucement, et la image disparut. abigaelle se releva mollement, le cœur battant. Elle ne pouvait pas ignorer ce que le marais lui montrait. Quelque chose allait adevenir ici, et elle devait interpréter avant que l’eau ne lui cache définitivement son illuminé.
